
Le marché de l’agneau français continue de se raffermir doucement. Les lots bien triés et de bonne qualité trouvent facilement preneurs, la vente est plus compliquée quand la marchandise est hétérogène. La demande est régulière mais les prix ne parviennent pas pour autant à se hisser à des niveaux comparables aux années précédentes. On ressent une certaine anxiété chez les opérateurs, qui peinent à juger des disponibilités à moyen terme. En attendant le Brexit, les contrats de long terme avec le Royaume-Uni sont résiliés et les achats se font au coup par coup, profitant des prix assez bas chez nos voisins. En revanche, en Irlande, l’offre semble au rendez-vous cette année. À noter que la viande néo-zélandaise ne devrait pas déstabiliser le marché français.
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