
Avec l’annonce de températures plus hivernales dans les jours qui viennent, le commerce de la poule s’animait un peu la semaine dernière, après un mauvais mois d’octobre marqué par des méventes importantes liées à l’été indien. Par ailleurs, la demande des industriels restait correcte, mais le marché africain demeurait plus laborieux. En amont, les réformes restaient limitées alors que les prix des œufs atteignaient des sommets. Les éleveurs tentaient de décaler. Pour autant, pas de surenchère sur les prix des poules, le férié ayant limité les besoins des abattoirs. Dans le même temps, un courant d’affaires régulier à destination de nos voisins belges, allemands et italiens restait actif à des prix fermes.
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